L'écoute en podcast de Valéry sur les sœurs Nardal, comme sur le Fcfa me pousse à réagir en écrivant à Rfi via mes Blogs.
Malchance pour moi Rfi ne pratique point le blogspot.com comme russiepolitics.blogspot.com, sinon j'exigerai à Nivelon d'acheter ce article ci en FrancSekuTure à l'équivalent 1.700 à 1.800€$
Devant la littérature Senghorienne de la négrétude, il y'a qu'un littéraire guinéen peut opposer la nègrelogie sékoutouréenne, parce que Sékou Touré ayant bien assimilé les systèmes coloniaux, a dit NON.
Tellement il est compliqué, difficile de comprendre, parfois inacceptable la nègrétude, parce que c'est Senghor qui écrit et parle de soi, en s'autodépréciant.
Mais en écoutant l"histoire des sœurs Nardal de Nivelon, surtout qu'il été le lieu où Senghor a été introduit, ça amène beaucoup à la réflexion.
C'est pourquoi ce blog, avec le titre nègreihaa.
En effet c'est la compréhension, et l'acceptation de la nègrétude.
Littéralement nègre est associé à l'intelligence humaine artificielle africaine (IHAA).
Nègreihaa en mandékan est être nègre, même peut signifier l'habitat du nègre.
Mais l'idée du nègre et de l'IA est effectivement le même environnement que nous place actuellement l'IA semblable à Senghor dans le salon des sœurs Nardal des Armées 1920-1930.
Comment les africaines même illettrés sont tant attachés aux téléphones, aux ordinateurs ?
Comment Google, Facebook nous épuisent financièrement, sans vouloir pouvoir acheter les articles des réseaux sociaux.
La véritable nègreihaa se passe surtout dans les entreprises ivoiriennes, sénégalaises dites start-up, politiquement qui sont français anglais et accompagnent le FMI, et le Breton Woods à dévaluer les monnaies des Etats africains.
Technologie oblige il y a aussi une nègreihaa locale guinéenne de l'Etat, qui monte et demonte téléphones, et ordinateurs chinois, et dont l'on ne trouve jamais les marques ni sur les marchés africains ou guinéens.
Il faut même comprendre dans l'actualité politique ivoirienne et guinéenne, qu'il aurait même une nègreihaa dans la réussite du troisième mandat d'ADO, et l'échec celui du PAC.
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